La présidente brésilienne Dilma Rousseff a déclaré mardi à son arrivée à Coimbra, que "Le Brésil pourra aider le Portugal", qui traverse de graves difficultés économiques et financières.
Dilma Rousseff rencontrera mercredi à Lisbonne, son homologue portugais Anibal Cavaco Silva et le Premier ministre démissionnaire José Socrates.
"Le Brésil peut, et est en mesure d'aider le Portugal", a affirmé l'ancien président Lula, qui était à Lisbonne pour recevoir un prix à l'université de Coimbra.
Selon l'ex-chef d'Etat brésilien, "le FMI ne résoudra pas les problèmes du Portugal. A chaque fois que le FMI a essayé d'aider des pays endettés, il a apporté davantage de problèmes que de solutions", a estimé Lula.
Un nouveau programme d'austérité censé "garantir" la réduction du déficit public et éviter un recours à l'aide internationale a été rejeté par le parlement portugais la semaine dernière, entraînant la démission du Premier ministre socialiste José Socrates et ouvrant la voie à des élections législatives anticipées.
Le Portugal pourrait être est au bord de la rupture de financement car il doit rembourser 9 milliards d'euros de dette d'ici la mi-juin alors que les marchés exigent des taux d'intérêt historiquement élevés pour le refinancer.
Dilma Rousseff rencontrera mercredi à Lisbonne, son homologue portugais Anibal Cavaco Silva et le Premier ministre démissionnaire José Socrates.
"Le Brésil peut, et est en mesure d'aider le Portugal", a affirmé l'ancien président Lula, qui était à Lisbonne pour recevoir un prix à l'université de Coimbra.
Selon l'ex-chef d'Etat brésilien, "le FMI ne résoudra pas les problèmes du Portugal. A chaque fois que le FMI a essayé d'aider des pays endettés, il a apporté davantage de problèmes que de solutions", a estimé Lula.
Un nouveau programme d'austérité censé "garantir" la réduction du déficit public et éviter un recours à l'aide internationale a été rejeté par le parlement portugais la semaine dernière, entraînant la démission du Premier ministre socialiste José Socrates et ouvrant la voie à des élections législatives anticipées.
Le Portugal pourrait être est au bord de la rupture de financement car il doit rembourser 9 milliards d'euros de dette d'ici la mi-juin alors que les marchés exigent des taux d'intérêt historiquement élevés pour le refinancer.